Bon… Mon exaltation et ma jubilation sont quelque peu retombées depuis la dernière fois.
Et ce que je considérais alors comme un cadeau du ciel, c’est finalement devenu… un fardeau. Et les inconvénients que je n’avais pas vu, je me les suis pris en pleine face.

Les inconvénients, c’est toute cette pression, liée à l’obtention du diplôme. Car il faut valider son diplôme au bout des deux ans, sinon pas de titularisation et donc… pas de boulot. Et ça me fait très peur de pas réussir.
Car l’année dernière il y a eu tout de même 8 personnes qui n’ont pas eu le diplôme. Apparemment 4 ont fait exprès car ils n’avaient pas eu l’affectation qu’ils voulaient, mais ça veut dire que quand même 4 ne l’ont pas eu alors qu’ils l’auraient probablement voulu.
Et moi, je ne peux m’empêcher de repenser à mon échec en Master. J’ai peur que ça refasse la même chose.
Du coup, je ne sais pas ce qui s’est passé dans ma tête, mais de retourner en cours et tout, ça m’a également fait perdre toute ma confiance en moi, et je sens que je vais avoir du mal en stage, et aux oraux et… Un peu comme si j’étais retournée à l’époque avant le boulot, quand j’avais peur de ne jamais trouver de boulot.

Et puis on a vraiment pas mal de choses à faire et à penser en dehors des cours, et ça fait beaucoup pour moi. Et c’est bizarre d’avoir des échéances, pendant deux ans tout de même !
Y a les exposés, les devoirs sur table (ça ça va encore, c’est ce qui prend le moins de temps), la fiche de test à faire en stage, puis le mémoire, l’étude de cas à trouver vite en stage pour suivre sur l’année, le stage en entreprise à trouver et le rapport de stage qui va avec… Sans compter l’autre conne qui nous rajoute des trucs à faire pour son cours inutilement (qui sera ma collègue en stage en plus, oups.hihi) ! Bref, ça fait beaucoup.
Surtout que quand une chose sera finie, y aura automatiquement une autre à faire. Pff. Deux ans pas si géniaux en fait. D’ailleurs j’aimerais pouvoir faire un bond dans le temps, directement en juin 2015…


Pourtant, jusqu’aux vacances de la toussaint ça allait, c’est quelques jours avant que j’ai commencé à avoir ce sentiment. Peut être aussi renforcé par le fait que tout le monde a donné son thème de mémoire alors que moi non, car je ne sais toujours pas quoi faire et que rien ne m’intéresse, mais ce qui ne m’empêche pas de stresser.
Et je déteste cette impression d’être retournée à l’école. Même plus à la fac, mais presque comme au lycée… (bon, j’exagère peut-être un peu…). Et j’en ai ma claque de devoir à nouveau m’adapter lors d’un stage, d’être à nouveau stagiaire (position de merde), et de devoir à nouveau chercher un stage. Et refaire un mémoire, pour la quatrième fois. Je pensais en avoir fini avec ces conneries !!


Bref, je sais que je me plains alors que certains me diraient que j’ai de la chance, qu’être payé pour aller en cours c’est cool. Oui, sauf qu’on est dans une période intermédiaire, et que si on ne bosse pas assez en dehors, à la fin ça sera dehors. Quitte ou double.

Mais je vais me calmer, et je vais me relaxer. Je vais continuer mon planning, je vaincrais mes différents stages, et on verra en 2015.



Et puis il y a eu plein de bons moments en plus ces deux derniers mois.

Il y a eu le midi et l’aprèm avec papa.
Le super repas à Meert que je lui offre pour sa retraite, les serveurs très gentils et la fille qui nous offre une entrée car papa l’a aidé à ramasser une fourchette tombée par terre. Le plat à deux, avec les pommes de terre et les légumes dans des saladiers. La tarte au citron en dessert et le thé. Se péter le bide et avoir mal au cœur après (sacré moi…) Papa qui me raconte ses premiers jours de retraite, la petite tristesse après son pot de départ la veille, mais ses nombreux projets, comme faire du vélo au parc près de chez nous, aller voir les archives de la ville… Le tour au Furet (of course), puis la balade jusqu’au quai du Waut avant de repasser à mon appart puis à la gare. Très bon petit moment.


Il y a eu le week-end du 13 Septembre avec Eva. L’apéro avec les roulés aux maroilles, l’explication vite réglée sur son bouquet de mariée (en fait c’était juste un vrai quiproquo, comme quoi il faut vraiment toujours en parler !!), les Kardashians un peu en fond, la discussion sur l’article consacré à l’amitié dans Psychologies. Etre trop contente de la revoir et d’avoir à nouveau toutes ces discussions, superficielles ou profondes, dans lesquelles on parle de nos vies et où je me confie comme jamais, ce genre de discussions que je n’ai qu’avec elle et personne d’autre. Le super Brunch au basilic café (et la gerbe en sortant… Deuxième fois de la semaine en plus, sacrée moi hihi ). Le tour au Musée d’histoire naturelle, profitant des journées du patrimoine. Les boutiques car il y avait trop de queue pour le Beffroi et qu’il pleuvait (temps parfait pour les boutiques ^^). La gaufre au chocolat que s’est achetée Eva près de chez moi. Rentrer vers 17h à l’appart et ne pas ressortir le soir pour le feu d’artifice finalement, car la flemme, et trop bien dans notre bulle.^^
Son sauvetage dimanche en la raccompagnant à la gare (c’est mon héros maintenant, encore plus qu’Oliver Queen d’Arrow hihi) et mes jambes qui ont tremblé pendant un petit moment. Le Mac Do à l’appart juste après qu’elle soit partie.

Puis l’après-midi, vers 16h, ressortir aux 48h de la mode à Saint Sauveur, avec Yann, Lise, Fred, sa copine (j’ai pas encore envie de lui attribuer un prénom…), Marine et Edouard. Aurore qui a vomi sur Marine (hihi. Oui, je sais, c’est pas bien de se moquer). La course des mecs en talons. La pluie. L’exposition sur les fantômes, les stands de bijoux, de robes de créateurs.



Il y a eu aussi le week-end avec Lise et Yann. Le samedi à Bray dunes, même qu’il faisait pas (trop) mauvais. Aurore à la plage pour la première fois. Revoir (enfin! ;-)) la mer, et apprécier la paisibilité que ça m’apporte. La visite de Cassel, qu’on arête pas d’associer à Castle (la série), et dont on arête pas de répéter le nom. Prendre la brochure à l’office du tourisme et faire le guide (j’ai été bonne apparemment. Encore une idée de reconversion ;-)). Le mini passage de moins d’un mètre. Les pavés romains. La concours photo. La soleil qui fait une petite percée dans ce paysage magnifique.

Et le dimanche, Paizi Daiza, un parc animalier. La foule avec un nombre de poussettes impressionnant. Les petits singes en liberté, l’encens, le snack avec burger (alimentation très équilibrée encore, le samedi midi à Bray-Dunes c’était filet américain-frites, là burger frites….), les jeux qui me font toujours autant rire, mes cris pendant celui où on vole vraiment, la peur de tomber. Les paysages d’Inde, d’Indonésie, la nouvelle partie Africaine et les citations dans la hutte. Et avec la famille de lions (trop mimis les petits, on aurait dit le roi lion. Ils jouaient à se battre, meme si c’était un peu brutal, c’était trop chou à voir hihi). Les beignets de banane (mmm!). Les animaux et les paysages dépaysants. Le granita à la fraise avant de repartir. Les photos avec les pauses débiles par moment.



Il y a eu aussi l’essai de cours de danse contemporaine à la fac, avec Sarah. Le four car c’était vraiment un concept. Ecrire nos prénoms avec notre corps, face à face, chacune son tour, puis les deux ensemble. Puis les diagonals ou après 10 passages on arrive toujours pas à faire les “triplettes”, et le reste. Bon moment, surtout après coup. Hihi. Plus JAMAIS!! ;-)


Puis le restau indien un jeudi soir, avec Lise, Yann, Fred et sa copine. Les lassis et les nams au fromage. Fred qui dit qu’il faudrait qu’on se refasse une soirée à l’Irlandais, avec John. Parler d’Amsterdam.


Il y a eu le week-end à Amsterdam.
La galère pour accede à notre hotel en transports, la française qui nous a bien aide. Marine et moi qui nous enflammons à l’hôtel pour aller dans un Ice Bar, car il y une petite reduction. Fred qui râle et dit qu’il faut pas s’enflammer tout de suite, mais tout le monde qui se laisse finalement tenter. Je regrettais justement de pas avoir pu le faire à Oslo, trop cool! ^^
Le tram où il faut composter son billet en entrant ET en sortant (2,80 euros l’aller en plus…), la découverte de la gare, et surtout, commencer par… un burger King. Très local. Hihi. Mais le Whooper c’est tellement bon!!^^
L’énorme parking à vélo près de la gareLe petit tour à Némo, s’assoir en haut des marches dans des petits transats, au soleil. La bateau réplique de la compagnie des Indes. La ville, très jolie avec ses nombreux canaux. Mais beaucoup trop de vélos par contre. Surtout qu’ils ont vraiment la priorité, il y a plus de passages vélos que piétons, et qu’ils roulent comme des fous. Manquer de se faire renverse plus d’une fois.

La grande place avec la photo d’Edouard à côté d’une voiture sans permis (la-bas c’est vraiment des pots de yaourts ;-)). Ne jamais réussir à trouver le fameux quartier du Béguinage, mais prendre une photo devant un fond “Glamour”, comme pour une avant première ou autre, sympa. Les amener après 20000 négociations dans un café brun, dans le quartier rouge (on a compris qu’après qu’on était dans le quarter rouge, en voyant les nombreux sexshops et trucs extravagant en vitrine). Et ne pas les perdre, yes!
Le café, plus typique c’est pas possible. Le juke box avec les vieilles chansons style Mireille Mathieu. L’enterrement de vie de jeune filles et les filles qui se mettent à chanter une chanson folklorique. La bière aux fruits rouges très bonne.

L’IceBar, qu’on a eu également beaucoup de mal à trouver. Mais comme on s’y était pris tôt quand meme, on a fait un tour dans le quartier près du jardin botanique (fermé à 17h! ;-)), puis repéré les restaus dans le coin pour après.
L’expérience, THE experience ;-). Les manteaux qui puent, les gants poisseux. Marine en ballerines, pas top. Les verres en glace, qui donnent une sensation originale quand on les porte à la bouche. La boisson alcoolisée à la vodka qui réchauffe un peu le gosier. La serveuse qui prend aussi des photos. Le petit film en 3D qu’on ne regarde pas en entire. Avoir froid et tous danser, ou plutôt sauter au son de la musique, don’t Scream and shout de Brit Brit. Même Yann! Même Edouard ;-). Bon moment tous ensemble. Une première (et surement dernière hihi) tous ensemble, que je suis contente d’avoir vécu avec eux.

La pizzeria où on nous demande 4 fois si on a choisi pendant 5mn, mais où on attend super longtemps nos plats ensuite. Le vin dégueulasse. Les serveurs vraiment pas aimables. Les pâtes dégueus de Marine. Le mec qui commence à dire qu’il ne prend plus les payments séparés. Ben si coco…
Le quartier rouge et ses vitrines, la foule et les nombreux touristes.

Le périple pour trouver un coffe shop qui nous branche. Ressortir d’un car Marine et moi on se sent pas à l’aise. En trouver un qui nous va, plus dans le quartier rouge mais vers la gare. Etre à trois (Marine, Edouard et moi) sur un joint, choisi par Fred et Edouard. Fred qui nous donne des conseils à Marine et moi pour fumer, car on est pas au point et on arrête pas de crapoter. Premier joint pour toutes les deux. Trouver ça sympa de faire cette initiation avec elle. Hésiter à reprendre un autre joint car ce n’est que vers la fin qu’on y arrive. Mais decider que non, car de toute façon on va rentrer, et peur que ça fasse trop. Edouard qui sort un moment car il a fumé le joint du coup.
Etre un peu déçue que ça ne nous fasse pas vraiment d’effet avec Marine. Mais me rendre compte dans le bus qui nous ramène que si quand meme, car je suis super zen, je sais que j’ai un sourire collé sur le visage, malgré la tête des mecs chelous dans le bus. Et quand Marine part un peu en rigolant en disant repentant que ça ne lui fait pas d’effet, alors qu’elle est morte de rire, ça me fait trop rire. De la voir avec des yeux de lapins russes aussi. Ne plus la regarder pour ne pas partir dans un four rire monumental.
Dormir avec Marine et Edouard finalement, car Marine et moi on veut pas entendre Fred ronfler. Les photos tous ensemble dans la première chambre. Celle avec les grimaces où j’ai l’air (/je suis) complètement défoncée. Edouard qui dort en haut, le pauvre, et qui a rêvé toute la nuit qu’il tombait. Lol.
Lise le lendemain matin qui me dit qu’elle aurait préféré dormir avec moi.

Le petit dèj au Starbucks de la gare. Le cheesecake et le chocolat trop écoeurant. Le tour en bateau avec le guide. Fred et sac opine qui s’isolent encore, comme dans le bus, et les réflexions qui fusent. Marine qui dit aussi qu’elle ne le reconnait plus, et que ça serait bien si avait un petit grain de folie en plus. Le restau thailandais et mon bon choix de plat, avec de la crème de coco et du curry vert, trop bon. La mega galère pour trouver le VondelPark. S’énerver sur le plan et ne pas trouver où on est. Le flic à la fin qui nous aide bien. Avoir plus beaucoup de temps malheureusement dans le parc, donc se contenter d’un petit tour dedans. La galère pour retourner au parking, le tram qu’on attend 10000 ans alors qu’il y en a 5 qui sont passes dans l’autre sens.

Rentrer vers 20h chez moi, depose par Yann et Lise. Etre globalement contente du week-end, meme si Fred m’a soulé à se considéter comme en week-end en couple.


Il y a eu aussi le verre (ou plutôt les deux cocktails ;-)) à l’Australian Café avec la promo après les cours. Les gens qui partent, et se retrouver à 6 et aller manger ensemble à l’estaminet Chez la Vieille, très typique. Les discussions qui partent un peu sur le sexe, ou sur les histories de tueur en série (je ne sais plus comment on est passes de l’un à l’autre hihi). Bien rigoler ensemble, et bien parler. Rentrer vers 22h chez moi (en me dépéchant ;-)), et être contente de cette soirée.

A la fac, il y a eu aussi le compliment de Lauren sur mes yeux, comme quoi ils étaient vraiment très beaux avec leur couleur entre vert et bleu. Ca m’a touché, surtout qu’inattendu.



Il y eu le samedi matin au Spa avec Lise et Yann. Leur cadeau pour mon anniv. Le jaccuzi en extérieur. Le hamam pas très chaud au debut, car on est les premiers. Très bon moment de détente, meme si un peu court, je n’ai pas trop eu le temps de me déconnecter vraiment. (ma faute aussi, je pensais trop à combien de temps il nous restait…)

La choré du bodyjam 65, découverte pendant l’été et que je kiffe vraiment.


Il y a eu aussi le foirage de La belle et la bête au Majestic. Penser que c’était l’avant première du film qui sortira en février 2014, alors que non, c’était la version originale… Voir la meme semaine, pour compense, La vie d’Adèle, avec ses films de sexe très hot (respect pour les actrices, ells méritaient en effet la Palme, elles se sont vraiment mise à nue dans tous les sens du terme…)


Il y a eu aussi l’anniversaire la journée à Etampes avec les parents et les jeunes, tous ensemble. La Pataterie.
Suivi du soir par l’anniv de Laure sur Paris.
Le portable finalement pas perdu d’Anna, les rires sur l’hisoire du tampon/bonbon, apprécier à nouveau tout le monde, et surtout Sophie. Les rires toutes les deux à propos de Richard Cocciante (une chanson m’a fait penser à “Coup de soleil” de Richard Cocciante, donc on s’est dit que ça allait surement tomber en plus, et la chanson juste après, on a, comme d’hab pas reconnu, sauf que c’était… “Coup de soleil” de Richard Cocciante.mdr La fille qui faisait le blind test nous a dit en plus qu’elle pensait qu’on aurait reconnu. Non, on est irrécupétables. Hihi), le « Ah mais non tu dors pas chez nous ce soir!» de Thibaut, qui me met bizarrement à l’aise. Trouver encore “Who knew” de Pink, allez danser quand on aime une chanson avec Sophie, son “ah celle là j’adore, j’y vais!”, comme moi. Laure qui semble jalousie quand elle apprend que je dors chez Sophie. Puis qui me demande après si elle peut venir me voir un week-end fin novembre. Le mari de Laure à fond sur les chansons, les photos rarées à deux avec Laure, quand on chantait tous à table en se pregnant par les bras, finir à nouveau à trois (+ le mari de Laure) avec Laure et Sophie, et surtout Sophie et moi qui dansions. La petite choré avec nos bras toutes les deux, que Laure a filmé. Finir en chantant toutes les trois sur “D’aventures en aventures”, ce qui fut un vrai MASSACRE. Partir juste après en ce disant que c’était le moment! ;-) La galère pour trouver la voiture de Laure. Pour retrouver le parking surtout. En repassant deux fois devant le restau. Lol.
La gentillesse de Sophie, m’excuser à nouveau de m’incruster, mais elle qui me dit de ne pas m’inquiéter et qu’elle me l’aurait dit si ça la dérangeait. Son repas qu’elle avait commence à preparer pour la famille le lendemain midi. Les thés à la vanille et au caramel en cadeau, la voir toute contente. Se démaquiller et se brosser à nouveau les dentst dans la sale de bain, à deux cette fois, et plus à trois. Avoir eu peur de pas savoir quoi dire, mais non, en fait on parle bien, d’ailleurs on s’est pas couches tout de suite en arrivant. Quand elle me dit dans la sale de bain après qu’on ait pas mal parlé “je vais peut-être te laisser tranquille!”. Sa lotion que j’essaie. Le lit dépliant avec les couvertures, la lampe colorée qui s’éteind avec la télécommande, les objets Apple.
Le petit dèj le lendemain matin à deux, gouter “mes thés”. L’histoire de son grille pain qui faisait des coeurs. Parler un peu de nos travails, l’entendre dire qu’elle va revenir sur Lille en Octobre. Que ce sera chargé pour cette fois là, mais qu’elle doit aussi revenir en novembre, et qu’on pourra peut-être se voir un peu du coup.
Comme quoi, ça me rassure, il y a toujours sur cette terre des gens qui peuvent m’intéresser et que je voudrais comme nouveaux amis. C’est rare, mais ça arrive. Dommage qu’elle soit à Paris 


Et puis la semaine avant les vacances, très active socialement.
L’avant première du Coeur des Hommes 3 le lundi, avec Sarah et Virginie. La photo avec Bernard Campan. Qui demande si on connait un bar sympa dans Lille, et moi qui suis incapable d’en trouver un qui me semble à la fois sympa et original… Répondre juste qu’il y en a des sympas dans le Vieux Lille, pas loin… hihi. Ouah, réaliser quelques minutes après que j’ai rencontré Bernard Campan, l’un des trois homes qui m’ont fait le plus rire de ma vie, avec qui j’ai passé de supers moments, avec Eva. Bernard Campan étant celui qui me faisait le plus rire des trois en plus. Regretter après coup de ne pas lui avoir dit juste “merci”. Pour tous ces fous rires.

La soirée chez Fred aussi, le mercredi, avec Lise et Yann et la copine de Fred (oui, je finirais par lui trouver un prénom…). Le fameux cocktail de Fred, le champagne en aperitif (ouah!), les quiches. Les jeux que je leur fait faire, ceux qu’on vient de faire l’aprèm en cours (oui, parfois les cours sont sympas! ;-) Mais pas toujours!). Celui avec les 10 expériences qu’on aimerait vivre. Celui avec le métier qu’on verra pour quelqu’un d’autre. Yann qui m’a mis reporter People, car je suis au point sur toutes les célébrités, car “achat compulsif de Public”, et “une touche de glamour”. C’était mignon ;-). Finir en jouant à Devine-Tête, avec du papier et du scotch. Lol. Moi qui fut Marine (“Est ce que je l’aime bien?”, Yann qui répond “Euh… Ca depend des jours” mdr), et… Kim Kardhashian. ;-)

La soirée débat à la fac le jeudi soir. La projection du film ‘12 hommes en colère’, puis les discussions après le film. Thème très intéressant j’ai trouvé.


Mon état d’esprit m’a donc gaché une partie de mes vacances, qui n’étaient pas franchement une réussite, surtout la première semaine du coup.
En plus j’ai vécu deux moments dignes de Bridget, quand je me suis retrouvée un aprèm chez Justine, avec Lise, Justine donc et Lucie, toutes les trois avec leurs… bébés. Grand moment de solitude dont je ne parlerais pas plus. Hihi
Puis quand je me suis retrouvée encore avec Lise et Justine et leurs bébés, mais cette fois chez les parents de Lise, avec aussi les parents de Justine et ses deux frères. Je me sentais un peu… en trop. Hihi.



Mais il y a eu quand même de bons moments aussi pendant ces vacances.
Quand on est restées plus de 3h et demie au tel avec Eva, un vendredi je crois, et que j’ai eu l’impression de sortir enfin de ma léthargie. Les moments avec Lise. Le premier samedi des vacances, quand mes parents et Danièle sont venus et qu’on a mangé tous (avec tous les parents) à l’Estaminet, dans un petit espace avec une énorme table ronde, petite pièce juste pour nous, cool ! ;-). Puis la pluie (pour changer), et donc le choix d’aller à Saint Sauveur. Le montrer « l’expo » sur les fantômes, et voir des jeunes de l’école faire une représentation de… danse contemporaine. Oui, c’est vraiment un concept !

Les 30 ans de Yann, le mardi. Les boutiques l’aprèm, et le repas chez sa mère le soir, avec aussi son parain, sa femme et ses enfants, et les parents de son parrain, et Severine et Steve, et Greg. Un sacré monde. Puis la fête cette fois, le samedi soir. Où j’ai… vomi. Et me suis couchée tôt du coup, vers 1h. hihi. Fred, Marine, Edouard et Yann qui rentrent dans la chambre à un moment pour me donner le fameux cadeaux d’anniv de Marine et Fred.
Le coiffeur, la coiffeuse super sympa, qui me pose plein de questions sur mes cheveux, et dit même, quand ils sont secs, qu’ils sont bien entretenus (bon, pendant le shampoing elle disait qu’ils étaient abimés, mais sec ça doit aller mieux hihi). Lui demander son prénom pour la prochaine fois.

La visite de ma maman le mardi soir. Le Flunch, avec la grande famille de chinois juste à côté, qui s’embrouillent pendant 5mn en gueulant et qu’on s’entend plus. Eyakkfull (un truc du genre) avec Dany Boon et Valérie Bonneton, qui fut comme je le pensais bien marrant. Une ou deux scènes qui me donnent les larmes aux yeux à force de rire. Le 3ème épisode de Mentalist avant de dormir. Me sentir bien dans le lit avec elle. Et le trouver un peu vide le mercredi soir.
Le réveil à 8h30 douloureux pour moi. Le petit dèj tranquille. Papa qui arrive à l’appart alors qu’ « on » (ok, maman. Mais c’était pour me montrer, la prochaine fois je ferais toute seule ;-)) a pas commencé les carreux. Lui servir un café pour le faire patienter. Le Furet, où j’ai acheté avec joie le 4ème tome de Mortal Instruments. Le petit restau derrière Notre Dame de la Treille, où en fait j’étais déjà allée avec Fanny. Les bières à la framboise, maman et moi qui prenions une entrée, moi pour la tarte aux maroilles (je ne pouvais pas résister). Apprécier ce moment tous les trois. Parce que je les aime mes parents ^^.

Le détour par la bibliothèque du Vieux Lille (pour leur montrer ma « copine » lol. Papa l’avait déjà vu), avant d’aller au zoo. Où il y avait beaucoup trop de monde et d’enfants. Décider de mettre mes livres (et ceux que papa avait ramené) dans un carton en bas de mon appart, et voir que moi aussi j’ai un triangle des bermudes (au début j’ai vu que la plupart de mes livres étaient partis, puis le samedi plus rien, même plus de carton ;-) ! Les raccompagner jusqu’à la gare, puis prendre le train plus tôt finalement, encouragée par eux, pour l’auto école de Laurent. Repartir donc au même moment sur nos quais vers nos trains respectifs, en se faisant coucou, nos trains étant face à face.

Et puis j’ai beaucoup aimé Halloween aussi. J’ai aimé l’odeur de l’air quand j’ai pris le bus pour chez Lise et Yann, et ce temps d’Automne, parfais pour l’occasion. J’ai aimé la tarte à la citrouille, et les cookies à la citrouille, canelle et pépites de chocolat. J’ai pas trop aimé regardé The Conjuring, retenir mon souffle pendant tout le film, flipper encore après avec Lise, et encore après seule chez moi. Hihi. Mais ça faisait partie du jeu.

Et enfin, il y a eu donc The Mortel Instruments aussi.
J’ai d’abord vu le film. Et En sortant du ciné, je n’ai pas pu m’empêcher d’aller au Furet acheter les trois premiers tomes. (Ils étaient empruntés à la bibliothèque aussi !) Et du coup je suis rapidement devenue accro à cette saga. Encore plus qu’avec Twilight même, c’est dire ! Car si l’histoire d’amour est très intéressante et nous tient forcément en haleine, j’aime aussi beaucoup l’univers de chasseurs de démons, et les différents personnages, qui sont également bien décrits et abordés ; comme Simon, le meilleur ami de Clary, qui évolue beaucoup d’ailleurs au cours de la saga.
Et je me suis donc replongée là-dedans, comme dans une drogue. J’ai passé des soirs à lire jusqu’à 2h et demie du mat, mon samedi entier à lire, et dès que je pouvais.
Même que quand maman est venue j’ai eu beaucoup de mal à décrocher du livre, j’avais trop hâte de continuer.
Mais du coup, comme une drogue, le mauvais côté c’est que ma vie me sentait vide en comparaison. Et y a le manque aussi. Même si ça va mieux côté vie vide (même si c’est pas la grande joie non plus, cf haut de l’article ;-)), j’ai trop hâte de lire la suite. J’avais oublié ce que ça faisait d’être accro comme ça, fan de quelque chose.
Ca me rappelle un peu d’ailleurs ma période Buffy, quand je ne vivais que pour mes moments avec Eva et les samedis soir avec Buffy (oui, ma vie était pathétique).
On ne peut pas faire plus retour au lycée n’empêche ! hihi
Mais du coup, j’aime bien avoir cette envie. Je pense qu’aux vacances de Noël je relirais tout depuis le début. En attendant la sortie du 5ème tome, qui n’est prévue que pour Janvier 2014, argh !! (c’est sorti en novembre 2012 aux states !! Mais je veux pas le lire en VO par contre)


D’ailleurs après avoir écrit je vais manger puis me mettre le film (que j’ai téléchargé, c’est mal), que je verrais pour la troisième fois donc ^^.

Demain c’est la reprise.
Malgré mon sentiment bien décrit au début de l’article, j’essaie de relativiser, de voir les côtés positifs. Par exemple, je sais que cette semaine va être assez cool, car je n’aurai pas d’exposé, et je ne serais pas en stage. Juste une semaine de cours donc.
Et dans un sens j’ai hâte de reprendre, car ça va m’occuper, et puis aussi hâte d’avancer, pour franchir toutes les étapes petit à petit. Et d’arriver en juin 2015 ! ;-)

Et puis ce que j’ai appris aussi, comme l’année dernière quand ça allait pas, c’est que ça sert à rien de ruminer et de se dire que c’était mieux avant. Il faut avancer, et accepter la situation telle qu’elle est pour aller mieux. L’accepter et voir aussi les côtés positifs, puisqu’il y en a, et que dans quelques temps je sais que ça ira forcément mieux. J’arriverais à faires les différents travaux qu’on me demande, je m’adapterais à mes stages en CIO, je trouverai un stage en entreprise (je crois que c’est ce qui me stresse le plus ça…), et j’obtiendrais le diplôme. Et sinon ? Et ben sinon tant pis, je trouverais d’autres solutions, mais c’est pas la mort ! Positive attitude Chlo !!