I am
27 ans
Aime:
Les
séries TV, sa meilleure amie, Sex and the city, ses amis, rire à en
avoir mal au ventre, le whisky-coca, les kinder-bueno, écrire, Bridget
Jones, les photos, James Mc Avoy, les States, la Manzana, aller au
ciné, les pizzas au chèvre, le Nutella, vomir…
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Goodbye 2011, Hello 2012
2011, c’était tout d’abord l’Australie. Partir par un temps glacial. Le trajet en avion super long, au cours duquel j’ai pas arrêté de flipper. Retrouver ma Eva après plus de deux mois sans se voir. Le premier petit-dèj tous les trois (avec Chris) dans le super camping d’Adelaïde, avec les pancakes, et cette petite brise très agréable. Découvrir sous le soleil les palmiers, les grands arbres, les superbes maisons, les pigeons colorés à crête qu’on a appelé les Pigeons Tectonik, la plage du camping, première fois que je découvre ces plages aux eaux claires. Les grandes rues qui me font penser aux Etats-Unis, le paradis K-Mart, Woolworths, l’apéro pour mon arrivée, la découverte d’Adelaïde, la superbe plage de Glenelg, le soleil et la chaleur. Le pieds tous les trois. Puis l’arrivée de Sandrine. La soirée avec les français, les fous rires au jumping pillow, comme de vrais gamins. Le « fruit du dragon », les sushis dans les Foodcourt. Kangaroo Island, avec malheureusement trop de mauvais temps à notre goût, ce qui rend les plages un peu moins belles. Les kangourous dans les champs, le koala vu par Chris. La koala walk, et les wallabies vus de très près, ceux qui étaient tout près de notre tente aussi, ou pendant la petite rando à la recherche des platypus. La « grande bleue » sur les routes rouges, « unsealed ». Little Sahara. Les plages magnifiques. Remarquable Rocks, Admirable Archs. La rando qui nous amène à une plage déserte. Se baigner dans les eaux claires, sauf quand il y a des vagues (le courant est totalement différent d’en France. Les vagues ne sont pas forcément grandes, mais hyper violentes). La cohabitation pas toujours évidente. Le retour à Adelaïde, la soirée alcoolisée et le coucher de soleil sur la plage, les triple burgers d’Hungry Jack (un peu écœurant hihi), le départ pour l’Outback. Le camping dans les terres rouges. Les Flinders Rangers, la rando dans les montagnes où on se croirait dans Indiana Jones, surtout quand on a été « attaqués » par des fourmis rouges coriaces, celle qui était collée à mon lacet. Le camping en plein de milieu de nulle part, avec un trou comme toilettes (et des arbres lol). Le petit fou rire avec les lingettes à Eva. Lire le livre des sœurs Kardashian. Les mouches TROP CHIANTES. L’apéro tous les soirs, dans les verres en plastique. Ecrire des cartes, très rarement, et mon carnet de voyage, régulièrement. Pour pas oublier, car c’est exceptionnel de pouvoir voir tout ça. La rando de 8kms et la discussion sur les blogs avec Eva. Le sac rempli de mouches. Le retour une troisième fois à notre camping d’Adelaïde, toujours au même emplacement. La soirée vin-fromages. Retourner à Glenelg. La dernière soirée ensemble et Chris et Eva qui me raccompagnent à l’avance à l’aéroport. Partir donc à nouveau seule, à Sydney. Le stress pour l’aéroport, mais tout se passe bien, en ½ heure à peine je suis dans la salle d’embarquement, avec mon magasine People. Malgré le fait que j’ai été soumise (plus ou moins volontairement) à un nouveau test technologique. Arriver sous le ciel gris, un peu dégoutée. L’embrouille avec l’auberge de jeunesse, la réservation pour ma chambre solo annulée, se retrouver donc dans une chambre avec trois autres filles. L’anglaise super sympa, qui venait de Londres, adorait Paris et passait un an en Australie, en bossant. Parler en anglais et réussir à me débrouiller, en être toute contente. Lui donner mes anciens People, ce qui la ravit. Comprendre également ce qu’elle dit au téléphone, sans trop écouter non plus. La française aussi, avec qui je parle un tout petit peu en anglais, puis dit que je viens de France. « Ah mais toi aussi t’es française?! » Etre contente que ce ne se soit pas vu tout de suite. La première nuit assez difficile, la solitude et les quelques dues aussi en grande partie au changement de plan pour la chambre. Sinon, passer mes journées dehors, partir vers 8h et rentrer vers 22h. Les nombreuses marches à travers la ville, le métro. Mon planning soigneusement élaboré à l’avance, et les changements selon le temps (qui change tout, c’est le cas de le dire). Le centre ville, le Queen Victoria Building et les arcanes Victoria, la salade dans la Sydney Tower (par hasard), le trajet en bus de mon auberge à Bondi Beach jusqu’à Bondi jonction, voir les jolies maisons et les gens qui vont travailler sous la chaleur. Le retour en bus depuis le centre jusqu’à l’auberge. La fois où j’ai pas vu l’arrêt dans la nuit et ait fini tout au nord de Bondi beach. Ma peur en remontant le long de la plage. La pluie et mon parapluie rouge fraichement acheté (un parapluie comme souvenir d’Australie, qui l’eut cru?;-)). L’Opéra, Circular Quai. La station « Town Hall » du métro, où j’entends à chaque fois « tunnel ». Le zoo, mon émerveillant à la découverte de tous ces animaux, et la photo avec le koala, moment très particulier, génial. Le guide écossais qui me fait la discussion et avec qui on rit. Le soleil qui revient enfin. En profiter pour aller à Manly beach. Le voyage en ferry que j’ai adoré. Se dire que des gens le prennent tous les jours pour aller travailler, sympa!;-). La petite balade et les supers maisons. Se poser, mais pas longtemps, car du coup il est déjà l’heure de partir. Monter en haut devant le ferry, et voir, tout à fait par hasard (mais pas pour moi! Je comprends pourquoi c’était bondé et pourquoi les gens s’étaient dépêchés de monter en haut. Mais c’est moi qui avait la meilleure vue! Héhé) le coucher de soleil sur le pont et l’opéra. Magnifique. Le tour vers les rocks, l’observatory parc, les quais et la marche sur le pont. Pas tout, car vraiment trop crevée. Ne même pas avoir le temps de lire les livres achetés du coup. Le t-shirt de rugby pour papa, trop contente quand j’ai trouvé. La longue balade le matin de Bondi Beach à Bronte Beach, en passant par Tamarama Beach. Mettre les pieds dans l’eau, pour le pacifique, mais les retirer très vite à cause des vagues. Filmer les surfeurs dans les grandes vagues, ça m’impressionne. La pizzeria avec le milkshake à la vanille trop bon, le quartier de Potts Point avec les supers maisons et la fontaine d’El Alamain. Ne pas manger à tous les repas, car souvent le soir j’ai plus faim. La dernière nuit dans l’hôtel super classe. Vouloir en profiter, mais finalement rentrer vers 22h dans ma chambre. Mon sundae caramel. Le petit dèj dans la chambre le lendemain, que je n’ai pas réussi à finir (et autant dire que les repas dans l’avion après, je pouvais plus! C’est vraiment trop écœurant n’empêche ces repas en fait), puis faire un tour dans la piscine, quand même. Etre toute seule, trop le pied. Faire un plongeon dans la piscine, puis rester dans le jacuzzi. Essayer le sauna, mais ça chauffait pas vite. Me détendre bien avant de reprendre l’avion. Le retour, le stress de l’avion, à nouveau, un peu atténué quand je regarde 27 heures et Never let me go (j’ai lutter pour ne pas pleurer sur celui-là! J’ai versé une petite larme quand même). Revenir en étant contente, parce que j’en ai pris plein la vue, parce que c’était exceptionnel et que j’ai eu la chance de vivre tout ça. Je n’ai rien écrit sur le joueb, la flemme, mais j’ai heureusement mon carnet de voyage.
2011 c’était donc Eva qui était loin jusqu’en aout. Etonnamment, c’était toujours celle qui savait ce qui se passait vraiment dans ma vie, et me soutenait. La plus proche. As always.
2011, c’était ma dernière année de fac. Et de stage (yes!!!^_^) C’était un stage qui m’a confronté à la fin à un évènement très difficile, me convaincant que je ne pourrais pas travailler en maison de retraite. C’est trop remuant. Et déprimant. C’était bosser comme une folle pour mon mémoire et le rapport. Enchaîner les épisodes d’HIMYM pendant les petites pauses. Ne pas être satisfaite au final de mon travail, mais j’arrive pas à faire mieux. Avoir très peur de résultat, me mettre davantage dans la perspective que je ne l’aurais pas. Et puis finalement si. La soirée pour fêter mon diplôme fin Aout avec Eva. Les petits fours, le champagne et son diplôme fait maison.
2011, c’était revoir Pauline au job d’été, et passer de supers moments avec elle. Se taquiner, rire, parler de nos complexes, de la fac, de ses exs, de sa mère. Ses problèmes médicaux, dont elle ne parle qu’à moi aussi. Nos soirées chez sa tante, supers soirées. Sa petite frimousse. Se dite que même si on n’est pas beaucoup en contact pendant l’année, on se considère vraiment comme des amies. L’entendre parler de Chambéry et avoir envie d’aller la voir un week-end. Découvrir une nouvelle amitié, ou plutôt une nouvelle amitié qui s’approfondit. Ouf, parce que sinon je m’inquiète un peu de ne pas réussir à me faire de nouveaux amis…
2011, je suis repartie en vacances d’été. Même si c’était avec mes parents (je voulais en profiter avant mon départ dans le nord, et j’avais besoin de vacances calmes. Et pas chères. lol), ça m’a fait du bien, ça m’avait énormément manqué en 2010. (d’où le petit pétage de câble par la suite)
2011, c’était le vide sentimental. Juste le RDV avec John, qui n’a rien donné de concret. Après j’ai été débordée par mon mémoire, donc je l’ai un peu zappé. Faut dire que je n’avais pas eu de coup de cœur aussi. Aucun coup de cœur justement cette année. Je crois que j’étais vraiment absorbée par mon mémoire aussi. Et puis les rencontres se font de plus en plus rares. J’espère qu’en 2012 ça va changer. Je veux vivre une histoire, même une petite. A moi de me bouger.
Et puis 2011, c’est l’année de la fin de mes études, et de mon déménagement dans le nord.
Et sinon, en France et dans le monde, c’était aussi l’affaire DSK, le tremblement de terre au Japon, la révolution égyptienne….
2012, ça sera l’année du changement, forcément. Du gros changement. Je ne sais pas du tout de quoi sera fait ma vie. Quel travail j’aurais, où je vivrais (c’est pas sur en plus que je reste dans le nord)… Le concours en janvier, puis recherche de boulot. Les annonces « Alerte chômage » ne me rassurent pas non plus. Ca va être assez galère comme année je pense. Et l’année de la dèche aussi. Hihi. Oui, surtout que j’aurais plus la carte sncf (argh!).
Et aussi, puisque la vie c’est aussi les projets, dans l’avenir, cette année ou bien après, j’aimerais : - Survoler New-York en hélicoptère - Faire une crémaillère - Aller à Ibiza - Faire un road-trip aux States - Reprendre la danse - Danser au carnaval de Rio - M’acheter des chaussures Miu Miu (ou pas… A voir)
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