Hier j’ai vécu un moment exceptionnel, hors normes, de folie, extraordinaire, magique, époustouflant, sensationnel… Les mots me manquent encore pour dire à quel point ce fut…de la folie.



Hier, j’ai en effet sauté en parachute. (là c’est dommage que je ne puisse pas mettre d’Emojis, car j’en aurais mis plein de différents ici pour exprimer mes émotions de joie intense ici hihi)

Ca a bien failli ne pas se faire (en allant à la gare on ne savait pas si je pourrais sauter, et en y arrivant non plus), mais finalement ça s’est fait, et dans les meilleures conditions possibles, dans des conditions ex-cep-tio-nelles (j’y reviens après hihi)



Tout d’abord, Eva et moi on a pris le TER (je suis allée au WC avant le départ du train et j’ai failli envoyer un sms à Eva « je suis partie » lol) puis Lise est venue nous chercher avec Aurore (elle s’est super bien entendue avec Eva, mais ça ne m’étonne pas que les enfants la kiffe ;-)) et on est allés un peu chez Lise et Yann.

Aurore a montré sa super maison (dans le jardin) à Eva, j’ai mangé un peu de sandwich, puis ce fut l’heure d’y aller.



Bien entendu, inutile de dire que j’étais super stressée. Mal de ventre et tout et tout… Dans la semaine déjà je me demandais dans quoi je m’étais fourrée encore hihi. Remarque, en allant à la gare Eva me disait qu’elle aussi elle était stressée, alors…lol

En plus, comme il y avait du vent, à 11h ceux qui devaient sauter à 8h n’étaient pas passé du coup, donc c’était pas sur du tout que ça puisse se faire. Quand on est arrivés au Centre de parachutisme Micheline (la dame de l’accueil que j’avais eu au téléphone. On ne sait pas comment elle s’appelle mais elle avait vraiment la tête et l’attitude à s’appeler Micheline ;-) Trop marrante la Micheline. Qu’on ne comprenait pas tout le temps d’ailleurs) nous a dit que ceux de 8h étaient passé à 11h, et ceux de 10h à 11h et demie ; et que pour ceux de 14h (dont moi), on savait pas encore, il fallait attendre. J’ai donné mon numéro et celui d’Eva, puis on est allés faire un tour dans le coin.

D’abord Lise et Yann sont partis aller acheter un gilet à Aurore à Cora (hihi), puis ensuite on a traversé quelques arbres et on est arrivés dans un parc avec plein de jeux pour enfants. Aurore a couru à droite à gauche, suivie par Lise et Yann, et Eva et moi on s’est posés sur l’herbe (enfin, sur son foulard ;-)).

Malgré le vent il faisait beau, il y avait du soleil, donc c’était super agréable.

Mais c’était toujours un peu stressant, déjà de penser au saut, et aussi de se demander si ça aller se faire.



Puis finalement on est retournés voir vers 15h30, et Micheline a raconté je ne sais quoi (j’ai pas compris), mais a fini par m’inscrire et donc c’était sur que j’allais sauter.

J’étais toujours un peu stressée, mais beaucoup moins que le matin, car j’étais vraiment contente que ça puisse se faire. En plus on a vraiment bien rigolé, grâce à Eva aussi, donc ça m’a beaucoup aidé à me détendre. C’était un super aprèm, vraiment. (un cadeau qu’il va vraiment être difficile de surpasser. Inoubliable)

J’ai découvert que j’allais m’envoyer en l’air avec Théo (hihi), ce qui a début m’a pas super plu, car il était plutôt pas mal, et comme j’étais un peu stressée et donc pas super à l’aise, je préférais sur le coup être avec quelqu’un comme le mec plus vieux (et pas très beau). Mais en fait j’ai été avec Théo, et je ne regrette pas. Vraiment pas. Vraiment, vraiment pas ;-).

Qu’est ce qu’on a bien rigolé là-dessus d’ailleurs. Car en plus de Théo j’étais aussi suivie de près par Xavier, le cameraman, qui était aussi très mignon. Le premier brun aux yeux bleus, le deuxième blond aux yeux clairs. J’étais vraiment bien entourée. Hihi Tout le monde n’a pas le chance de s’envoyer en l’air avec deux beaux jeunes hommes comme ça, et c’est vrai que pour mon saut j’ai quand même eu la chance de sauter avec les deux beaux gosses du centre. C’est pour ça que je parlais de circonstances exceptionnelles ;-).





Une fois les gens regroupés (on était 4 à sauter en tandem à 14h, et puis il y avait aussi des mecs qui montaient dans les avions pour sauter seuls), on a eu les consignes de sécurité.

C’était pas très compliqué en fait, on devait se mettre en position de la banane (d’ailleurs on a tous testé sur une planche à roulette), puis ouvrir les bras au signal. (mais j’ai même pas été capable de faire ça lol. J’ai ouvert les bras assez vite en fait, et j’étais pas vraiment cambrée. Bref…)



Puis un premier avion est parti, avec les deux mecs qui sautaient aussi en tandem (et un qui sautait avec mon Théo mdr). On les a donc vu atterrir en parachute (impressionnant !), puis ils sont revenus et ça allait être à moi.



Théo m’a attaché le harnais, et ce fut le moment d’y aller.

Au début j’avais pas cette impression du tout mais en fait il a été vraiment gentil, il m’a mis à l’aise, c’était vraiment sympa.

Même qu’Eva a immortalisé en photo le moment où il me prenait la main quand on est partis. Chabadabada… (hihi Non en fait il m’a pris la main pour aller plus vite car j’arrivais pas à marcher très vite avec le harnais. J’adorais ma démarche d’ailleurs ;-))



En fait, moi, ce qui me stressait le plus finalement, c’était… l’avion (la fille qui a tout compris…). J’avais peur d’être malade, surtout que c’était un petit coucou (trop marrant quand on en a vu un voler pour la première fois avec Eva, et que c’était vraiment pas droit, que ça tanguait bien…).

Mais en fait, j’ai pas été mal du tout, j’ai même kiffé, donc à partir du moment où j’ai compris que je serai pas malade dans l’avion je me suis dit que c’était juste du bonheur.



Je me suis donc assise devant Théo, et il y avait aussi un autre mec qui sautait à ma gauche, en face l’autre fille qui sautait en tandem avec son moniteur, et Xavier dans ma diagonale. Qui me filmait par moments. C’était bien parce que j’étais pas stressée, je profitais de la vue (j’ai même fait coucou aux autres mais je pense pas que ça ait servi à grand chose hihi), et je crois que mes expériences en avion m’ont aussi aidé pour profiter de ce moment. Et puis Théo et les autres aussi.

Quand il me disait de me coller à lui (fesses contre lui…lol) pour qu’il commence à m’attacher et tout, il me disait que c’était bien ; il m’expliquait tout, comment ça allait se passer, les étapes, Il me montrait où on allait atterrir après (la fameuse croix verte que je n’arrivais pas à voir)… Il me mettait vraiment à l’aise. Il m’a demandé pour quelle occasion je sautais, avant de se rappeler que c’était pour mes 30 ans (j’en ai profité pour être honnête à ce moment là, probablement dû à l’effet avion conjugué avec l’effet ma-vie-dépend-de-toi et lui dire que c’était l’année dernière mes 30 ans. Après tout, on vivait peut-être notre dernier instant ensemble). Il m’a demandé aussi ce que je faisais comme métier (mais il connaissait pas trop apparemment, il m’a demandé si c’était CPE), où ça, et quand j’ai dit que j’allais partir en Picardie il m’a demandé où, car lui avant il sautait au centre de parachutisme de Péronne…

On parlait aussi avec Xavier, et à un moment ils ont parlé de Free fly, je ne sais pas trop ce que c’est mais j’ai supposé que c’était avec des sauts et tout ; donc je leur ai dit, un peu inquiète « mais euh, là vous allez pas faire ça hein ? », et ils m’ont rassuré en disant que non, qu’ils allaient pas me faire ça, que je pouvais avoir confiance. Ouf… ;-)



Dans l’avion j’étais donc dos à Théo, puis je me suis collée à lui et il a attaché mes différentes sangles (c’est bien, je n’avais à m’occuper de rien). Pendant la traversée j’étais donc collée à lui, ça faisait genre câlin, c’était agréable… (oui je suis désespérée, j’assume hihi. Mais comme dit Eva, ça fait du bien de voir des gens beaux (lol), et ça fait aussi du bien d’être collée à eux) Après par contre il m’a demandé à un moment de baisser mon dos quand il a attaché mes sangles de dos, c’était un petit peu embarrassant tout de même hihi.

Ce que j’ai aimé aussi c’est se regarder les uns les autres, et les tapes qu’on s’est échangé tous les uns avec les autres (tape, poing, signe). C’était un beau moment ;-). Je crois que la femme en face de moi stressait pas mal par contre, elle devenait un peu blanche.

J’ai redemandé aussi si on ouvrait les bras dès la sortie ou après (mais ça a servi à rien de toute façon car je les ai de toute façon ouvert dès la chute, avant le signal), ils m’ont répondu, et en répétant les étapes Xavier a dit « Et n’oublis pas de crier aussi », ce à quoi j’ai répondu que pas de soucis, ça c’était bien prévu hihi.

Bon, Théo m’a aussi un peu calmé de mes ardeurs quand il m’a expliqué que par contre pendant la chute il ne faudrait pas que je lui touche les mains, car il en aurait besoin pour ouvrir le parachute… Ca va, j’ai réussi à me retenir du coup lol .





Quelques minutes avant l’arrivée « au sommet » j’ai mis mes lunettes autour du coup, puis sur mes yeux et il a serré le fil (mais je les ai ensuite un peu redressées, comme la fille devant, car il y avait déjà de la buée), le moteur s’est arrêté (tic-tac-tic-tac…), et ils ont ouvert la porte. C’est super impressionnant, et en même temps ça va super vite aussi.

Là, j’ai ramené ma jambe droite vers la porte, le premier mec a sauté puis ça a été notre tour. Je me suis assise au bord de la porte, les jambes dans le vide et les mains sur la barre en haut, avec Théo derrière qui disait toujours que c’était bien. J’ai regardé le sol, je me suis vaguement dit, truc de fou, et… la chute.

Ce fut le moment que j’ai préféré. Voir le sol si loin, et réaliser qu’on va tomber dans le vide. C’est vraiment dur de trouver des mots pour décrire ce qu’on ressent au moment de la chute. Parce que justement c’est indescriptible, et que cette situation, ces sensations, ne sont semblables à aucunes autres, et qu’il n’y a que cette occasion qui peut faire vivre ces émotions.

Ce qui est sur, c’est que dès que je suis tombée, j’ai crié. Un mix de peur et de plaisir, mais surtout de plaisir (d’ailleurs sur les quelques photos que j’ai pu voir pour l’instant, j’ai le grand sourire. Xavier a dit d’ailleurs en commentant la vidéo « toujours avec le sourire » ;-))

En fait, on est à la fois bien attaché, mais aussi bien dans le vide, c’est vraiment particulier comme sensation. Au début c’est comme si je ne sentais plus vraiment mon corps. Et puis ça donne une sorte de sentiment de liberté.

J’ai tourné un petit moment dans le vide (pendant une quarantaine de secondes), j’ai quand même fini par arrêter de crier, et je faisais des signes de joie avec mes mains à Xavier et sa caméra. J’avais le Big Smile aussi. Par contre à un moment j’ai été obligée de fermer la bouche, car j’avais trop mal aux dents. (c’est officiel, j’ai une sensibilité à ce niveau là, car j’avais trop froid aux dents, ce qui me faisait mal donc ; et Xavier m’a dit après que c’était la 1ère fois qu’il entendait ça…)



Puis vint le moment de l’ouverture du parachute… et de la levée de mon t-shirt…………

Lorsque le parachute s’est ouvert, je me suis donc retrouvée droite, et quelques secondes après je me suis rendue compte que mon haut était complètement levé, qu’on voyait mon soutien gorge, et peut-être même plus. J’ai flippé, puis je me suis dit que Xavier n’était pas là, ouf, donc ça avait pas du être filmé. (Ahem. En fait si…)

C’était bien de changer de position, par contre les harnais m’ont fait trop mal à la cuisse. Je l’ai dit à Théo et j’ai bougé un peu pour que ça aille mieux, ça faisait un peu moins mal mais quand même. (ça fait toujours mal quand je touche, je pense que je vais avoir des bons bleus)

Sinon, la vue, le moment, c’était époustouflant. Surtout au début quand on bougeait pas, le mot qui m’est venu instantanément c’est plénitude.

Théo m’a montré un peu les lieux en bas, la prison, le centre de parachutisme, là où on atterrirait ensuite ; puis il m’a laissé les commandes du parachute. Bras tendus dans les lanières, en haut. J’ai appuyé donc pour faire un tour à droite, puis un gauche, mais ça m’a vite porté au cœur ; alors quand il m’a dit que maintenant je faisais ce que je voulais, j’ai dit que j’allais la faire soft. Hihi Il a dit oui bien sur, pas de soucis, qu’on faisait comme je voulais, comme je le sentais. (je me sentais un peu mal, un peu tafiole de pas tourner et tout)

Je me suis un peu plaint de ma douleur à cause du harnais aussi (la relou lol), et à un moment il m’a dit « regardes comment on est bien là ».

J’ai donc tenu un peu les commandes (j’ai dû faire un quart de tour mais ça me donnait vraiment trop la gerbe), puis il les a repris (ouf). La vue était en effet vraiment magnifique (à un moment on est passés au dessus de la Nationale, je voyais mes pieds au dessus des voitures, on aurait dit des légos, c’était marrant), et il faisait un super temps, soleil et pas de nuages, c’était top.



Après qu’il ai repris les commandes on a donc commencé à atterrir en douceur, puis j’ai levé les jambes quand il me l’a dit et quand il m’a dit « debout » je me suis arrêtée sur les jambes. (yes, je me suis pas cassée la gueule ;-)).

Il y avait aussi d’autres mecs au sol qui récupéraient le parachute (je crois, j’ai pas tout compris). J’ai dit à Théo que c’était super. J’ai du aussi faire une réflexion comme quoi je m’excusais si j’avais pas trop bougé avec le parachute, mais il a dit que c’était pas grave, qu’il avait aussi passé un bon moment, et après qu’on se soit fait une petite tape il m’a même fait un petit câlin. (emoji rougissant à nouveau ;-)).

C’est vrai que c’est bête à dire, mais c’est un moment tellement particulier, que ça crée aussi un lien particulier avec la personne, indubitablement. Et puis il a été vraiment super sympa aussi.



On a retrouvé Xavier et on est ensuite retournés tous les 3 vers Centre. Xavier m’a un peu filmé (j’ai remercié Eva pour ce super cadeau), puis un peu après il a fait une réflexion comme quoi j’avais montré une sacrée vue lors de l’ouverture de parachute…. La HONTE.

Bien évidemment, il fallait que je la fasse celle-là, c’était pas possible autrement. Digne de Bridget Jones !



On a marché et j’étais toute flageolante. J’ai retrouvé mes amis et dit enrevoir à Théo (et surtout merci ;-)), puis on a regardé la vidéo. Xavier devait couper au moment du parachute mais il parlait avec quelqu’un d’autre donc il l’a pas fait, mais ça va, au final on ne voit « que » mon soutif, et très rapidement. Le beau soutif beige en plus (Mais pourquoi j’ai mis mon plus moche soutif et pas le noir tout simplement ?!).

On a évidemment bien rigolé.

C’est marrant n’empêche, sur la vidéo le temps de chute ça se passe vraiment très rapidement, alors que pendant que je vivais le moment, j’avais pas l’impression que c’était aussi rapide. Je pensais que ça passerait trop vite, pas le temps de réaliser, mais en fait si. C’est un peu hors du temps comme moment.

Après avoir fait un chèque (on passe sur le nom pour l’ordre du chèque. Private joke inside) pour les photos et la vidéo à Xavier (que je recevrais dans une dizaine de jours), et on a quitté le Centre.



J’ai demandé si on pouvait marcher un peu, car je me sentais toujours un peu flageolante et nauséeuse, mais ça n’a pas suffi, car pendant le trajet du retour je me sentais pas très bien. Hihi.

C’était trop gentil d’ailleurs, car Marc nous a ramené chez moi.





A peine arrivés je suis donc allée… vomir. Hihi

Et ben même que j’ai bien fait car ça m’a fait trop du bien, et qu’ensuite j’ai pu boire du Champagne avec Eva ;-). Il fallait fêter tout ça ^_^

En fait la bouteille faisait partie de mes cadeaux d’anniversaire qu’elle m’avait offert vendredi soir.




Vendredi soir on a en effet ouvert nos cadeaux d’anniversaire respectifs (moi j’ai eu les magasines Flow et Simple Things, du Champagne, un magnifique pot de fleur avec des roses et des pivoines, des supers macarons de chez Bouillet et une jolie carte ; et moi je lui avais acheté plein de produits Lush, pour le bain entre autres), puis on s’est fait une soirée Vin-fromages avec bougies, ambiance romantique ;-). J’ai testé la bougie qui change de couleur offert pour mes 30 ans par Lise et Yann, et c’est excellent ! Dans un autre registre, on a aussi testé la Boulette d’Avène, mais j’ai beau aimer les fromages forts, là c’était vraiment trop fort !





Samedi on est donc rentrés du parachute vers 18h30, j’ai repris mes esprits (et mon estomac s’est remis à sa place), on a bu du Champagne, puis on a fait un petit tour en ville (rues commerçantes, grande place, Vieux Lille…), avant de retourner au Bar près de chez moi.

On a pris deux beaux cocktails rouges, les Hollywood Hills (on s’est un peu senties comme Lauren hihi). On a parlé de mon saut, de la vie et du besoin de profiter et de faire des choses amusantes. L’expérience avec les mecs du centre a réveillé certaines choses chez nous, comme cette envie de rencontrer de nouvelles personnes et de s’amuser. Ca nous a rappelé que parfois la vie c’est simple, et qu’une rencontre ça peut changer les choses. Et surtout, que c’est bien de rester jeune (dans sa tête) et de s’amuser ^_^.

On disait aussi qu’on admirait en plus les mecs comme ça, qui en plus d’être pas mal faisaient des choses qui forçaient le respect et donc l’admiration. Une sorte de fascination. Un peu comme les gens qui ont le permis. Mais encore plus quoi.hihi. Surtout que là en plus c’est vraiment risqué.



Après le Bar on est allés manger des Burgers (pardon, ils disent « burgé » là-bas, car c’est à la française… ;-)) chez Big Fernand, et c’est vrai que c’était super bon. Le burger, et les frites. Miam. Il m’en reste d’ailleurs des frites, car j’ai pas tout fini.



Ensuite on est rentrés et on a dormi tôt (enfin, grâce à mon voisin du dessus, pas avant minuit et demi quand même) car on était toutes les deux vraiment crevées.





Puis ce matin à nouveau le Brunch (notre petit rituel ^_^).

Cette fois on a testé le Be Yourself, mais c’était un peu décevant. Le cadre était super sympa, et certains trucs avaient l’air trop bons, mais c’était trop compliqué de comprendre les menus, et on pouvait pas tout prendre à la carte, c’était pas simple. Et puis les œufs et les pancakes étaient pas supers.

Mais bon, ça allait quand même. Mais c’est pas notre brunch préféré disons ;-).

Après comme il faisait super beau (soleil, ciel bleu, débardeur et sandales, le pied) on en a profité pour se balader à nouveau, cette fois en allant vers Notre Dame de la Treille. Eva adore aussi Lille. ;-)



Puis ce fut déjà l’heure de la raccompagner au train, et vers 13h on se quittait.

Encore un week-end qui a passé trop trop vite. Mais qui fut tellement bien, tellement intense ! Le bonheur ^_^









Je repense encore à mon saut, et j’ai pas fini d’y repenser je pense ; d’ailleurs cette « nuit » j’étais réveillée vers 6h du mat et j’ai eu trop du mal à me rendormir, car j’arrêtais pas de penser à ça, de visualiser à nouveau les différents moments de ce GRAND moment.

Et puis hier soir, dans mon lit, avant de dormir, je me suis sentie fière de l’avoir fait aussi. ^_^

Car comme m’a dit Eva (elle a tenu à ne me faire part de sa réflexion-prise de conscience qu’après mon saut, ce qui est probablement une bonne chose en effet hihi), c’est quand même un truc de fou de sauter dans le vide à 4000 mètres de hauteur, accrochée juste à un mec et…un sac lol.



Ce saut en parachute, je pense que je vais y penser encore longtemps, et que je n’oublierais jamais, c’est sur.

Cet aprèm j’ai mis plus de 4h et demie pour écrire ce texte, en prenant bien le temps et en faisant des pauses pour me remémorer les différents moments . J’ai l’impression de toujours être un peu euphorique, un peu vaseuse aussi ; comme si l’adrénaline se déchargeait encore un peu. Je ne pensais pas, mais finalement, les effets me semblent durer encore bien après (ou alors c’est juste la fatigue lol. Non je ne crois pas. Mon sourire béat me prouve que non hihi). Je comprends que les gens puissent devenir accro, et que ça fasse comme l’effet d’une drogue pour certains.

Un grand, grand, ENORME même, Merci à Eva pour toutes ces émotions ! ^_^